★ you have to answersi tu es un assassin : Mon père était un assassin, mon grand-père et ma grand-mère l'étaient tout comme mon arrière-grand-père... Aussi loin que l'on peut remonter dans ma généalogie, il y a toujours eu des assassins. C'est donc tout naturellement que j'ai repris le flambeau à la mort de mon père, il y a trois ans. Officiellement, mon père est mort d'un "banal" accident de voiture, mais, en vérité, il a été tué par des templiers. Ceux-là, je ne peux pas les voir. Ils ont tué mon père, ma grand-mère et pour moi ils sont responsable de la dépression de ma mère. Mon grand-père a repris l'entrainement que je suivais avec mon père, celui-ci a pris fin il y a un an.
C'est vrai que j'ai changé ma manière de vivre, je reste constamment sur mes gardes, j'ai même arrêté de finir complètement pété aux soirées étudiantes. Je me suis assagi.
Enfin, bref. À part ma famille, je n'ai mis personne au courant, même pas mon amant régulier.
★ let me read you
Je suis né le 10 avril 1992 dans un hôpital de New-York, mes parents décidèrent de m’appeler Ashley Reese Clayton. Je ne sais pas ce qui est passé par la tête de mes parents pour choisir Ashley comme prénom, d’après ma mère c’est un prénom mixte. C’est un prénom qui fait très féminin, un prénom qui m’a causé quelques problèmes quand j’étais enfant, c’est fou, ce que les enfants peuvent, être méchant entre eux. J’en ai voulu à mes parents pendant mon adolescent, mais maintenant je ne leur en veux plus. J’ai juste horreur qu’on m’appelle avec ce prénom.
Je n’ai pas grand souvenir de ma petite enfance, ma mère m’a toujours dit que j’étais un bébé très calme qui pleurait très peu et qui avait tout le temps sourire. Elle me disait que j’étais un enfant très curieux, je voulais savoir tout sur tout. Quand j’avais quatre ans, il parait que je demandais tout le temps où allait mon père quand il disparaissait le soir ou pendant plusieurs jours. Ma mère me répondait que c’était pour son boulot, mais on ne disparaissait pas des jours quand on est policier, à l’époque je croyais ma mère.
Puis, j’en finis par entrer à l’école. Là-bas, je me suis fait charrié, et même parfois insulté à cause de mon prénom, certains enseignants pensaient qu’il allait avoir à faire à une enfant, et il ne cachait pas leur surprise quand il voyait que j’étais un petit garçon. Même si j’étais victime de brimade, j’avais des amis. J’en avais peu, mais c’était des amis sur qui je pouvais compter, des amis à qui je confierais ma vie s’il le fallait. J’aimais bien l’école, j’aimais bien apprendre, mais j’aimais aussi retrouver mes amis et aller faire une partie de foot avec eux. À l’école, je me faisais souvent engueuler quand je prenais de la hauteur, j’ai toujours aimé la hauteur, être seul en hauteur. Ça doit faire partie du package “Assassin“ dont j’ai hérité. Enfin bref, je n’étais pas un enfant très turbulent, du moins c’est que me disait mon professeur. J’ai aussi commencé à jouer de la basse quand j’avais 7 ans puis un an après j’ai commencé la guitare. Jouer, c’est véritable apaisement pour moi, je m’isole dans mon monde à moi. À l’époque je croyais plus à l’histoire de ma mère, comme quoi mon père allait faire son boulot de flic à trois heures du matin ou pendant cinq jours. Je ne pouvais plus y croire, mais je n’arrivais pas trouver ce qu’il pouvait faire d’autre
Je suis entré au collège, et c’est là-bas que j’ai découvert les langues étrangères et que j’ai su que je voulais les étudier, les parler. Je crois qu’on peut dire que j’ai une grande facilité pour apprendre les langues et que j’aime ça. J’avais 13 ans quand, j’ai commencé à douter de ma sexualité, mais j’avais peur, j’avais honte et je n’osais pas en parler. C’est aussi la même époque qu’on choisit mes parents pour me parler du véritable travail de mon père. Je ne les ai pas crus au début, j’ai rejeté cette vérité. Puis quand j’ai appris la vérité sur la mort de ma grand-mère par la bouche de mon grand-père, j’ai fini par accepter doucement ce fait, et que je devrais reprendre, un jour, l’héritage. J’ai donc commencé l’entrainement. J’ai aussi fait des conneries pendant cette période. Je vous l’avoue et je ne suis pas très fier. Je me suis laissé entrainer par certains dans des soirées alcoolisées alors que je n’avais que 14 ans.
Le lycée, un souffle de liberté. Je découvris l’amour. Mon premier amour, Mat, était une perle. On est resté un an ensemble et on a fini par séparer parce qu’il déménageait. Je ne pourrais jamais oublier mon premier amour parce que je l’ai aimé comme un fou. J’avais fait ma première fois avec lui. Pour moi c’était une relation parfaitement. Parallèlement, je continuais la musique. J’avais un petit groupe, c’est franchement sympa, maintenant je n’ai plus le temps pour ça. Le lycée, c’est aussi à cette époque que je me suis pris ma première cuite. On avait investi la maison d’un pote. J’étais tranquillement avec un mec, et bien sûr les flics ont débarqué, et bien sûr il y avait mon père parmi eux. C’est comme ça qu’il a découvert ma sexualité, mais il s’en fichait. Pour lui comme pour ma mère l’important, c’était que je devais être heureux. J’ai vraiment de la chance d’avoir des parents comme ça. Je me suis quand même fait engueuler pour la cuite que je m’étais prise, n’allez pas croire que mes parents laissaient passer ça. Au lycée, je me suis aussi mis à apprendre le français et le japonais. Mon père continuait à m’entrainer, mais je ne prenais pas beaucoup de muscle, en fait j’ai beau faire beaucoup d’heure d’entrainement et gagner en force, je ne prends pas de muscle. Tout comme le fait que je peux manger n’importe quoi, je ne prendrais pas un gramme. J’ai aussi fait mes tatouages et mes piercings à cette époque.
Et puis CE jour est arrivé, c’était que jour après la remise des diplômes. Je préparais mon sac pour mon voyage pour le Japon et la France quand j’entendis sonner. Très vite, j’avais rejoint ma mère sur le pallier de la maison, très vite la nouvelle tomba : mon père avait percuté la barrière de sécurité et il était tombé du pont. Il était mort sur le coup. J’ai ressenti une telle tristesse à cette annonce. J’ai pleuré des nuits avec ma mère avant de lui annoncer que j’allais reprendre le flambeau et revêtir la tenue d’assassin.
J’ai profité de mon voyage au Japon et en France pour apprendre des techniques après des Assassins de ces deux pays. Quand, je suis rentré un an plus tard, j’ai continué à m’entrainer avec mon grand-père. Je soutenais ma mère de mieux que je pouvais, elle me disait que si je venais à mourir, elle ne survirait pas. J’avais vraiment peur pour elle, j’ai toujours peur pour elle même si elle commence à aller mieux. J’avais 20 ans, quand je décidai d’entrer à la fac et que mon entrainement se termina. J’étais devenu un Assassin ! J’ai rencontré la confrérie et je me suis lié d’amitié avec Ivy, une jeune femme que je considère comme une grande-sœur. Un mois après j’ai tué mon premier templier, c’était dur. J’avais eu du mal à l’achever, mais je l’ai fait…
À la fac, j’ai rencontré un chic type. Il s’appelle Adam, il est plus âgé que moi, on s’est rencontré lors d’une soirée et je ne sais pas pourquoi, mais on a vite accroché si bien qu’on est devenu amant. On se voit très souvent, même si j’ai confiance en lui je ne lui dirais jamais que je suis un Assassin. J’ai bien trop peur qu’il s’enfuie si je lui dis. J’ai continué appliquer mes contrats que je reçois même si je me sens mal de mentir quand il me propose une nuit avec lui et que j’ai du travail.
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j'ecris plus vite que mon ombre * vas se cacher*